Salut !
En fait, j'ai ma théorie sur cette époque... Je suis persuadé que ceux qui couraient avaient une penchant pour l'auto-destruction, voire pour le suicide...
A l'époque, une saison de F1 "prèlevait" 10% du plateau tous les ans, en moyenne. Une course au Mans sans morts serait presque anormale. Le tournage même du film "Le Mans" a laissé quelques morts, et on sait comment la majorité des grands pilotes a fini... Fangio, c'est le survivant, l'exception absolue, mais pour un Fangio, combien d'autres sont restés ? Et comment peut-on continuer la course, alors qu'on vient de voir un autre concurrent se tuer juste devant soi ? Comment prendre le prochain départ ?
Pour moi, une seule explication : l'acceptation de la mort. Une variante de la roulette russe, en quelque sorte. On souhaite la mort implicitement, mais on laisse le hasard décider... Allez, j'arrête mon trip morbide !!
Les images sont très belles, en tout cas, merci !
BB