le probléme tu le sait c'est que même renault les profits ne servent pas l'économie en général mais bien les actionnaires et la direction !
dont l'état fait partie
et aujourd'hui l'état à bien compris que l'on se tir une balle dans le pied si on change pas le systéme !
et tu pense serieusement qu'un ouvrier payé au smic chez PSA/renault coute cher ?
mais non le probléme est ailleur il faut arréter de se voilé la face !
je pense qu'il faut re-nationnaliser les grands groupes ainsi que certaines banques !
mais bon la route va être longue jusqu'a admettre de revenir en arriére
pourtant l'industrie française ne s'en porté que mieux à l'époque (les 30 glorieuses)
extrait des 30 glorieuses:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trente_Glorieuses#Le_cas_de_la_FranceTaux de croissance annuel du PIB (1950-2010) et taux de croissance annuel moyen pour trois périodes, dont les Trente Glorieuse
De 1946 à 1950, la France paralysée par une économie et des infrastructures obsolètes, ne connait pas de réelle croissance et les conditions de vie sont très difficiles, en raison du coût élevé de la vie. Le rationnement, toujours présent jusqu'en 1947-1948 et la crise du logement, accentuent les difficultés d'un peuple encore marqué par la guerre.
La situation économique, très préoccupante (le PIB français de 1945 représente 40 % de son niveau d'avant-guerre), focalise l'attention des pouvoirs publics, qui décident alors d'adopter, en partie, le modèle du New Deal américain d'avant-guerre :
le GPRF procède à la nationalisation de pans entiers de l'économie (parfois au motif de punir les entrepreneurs ayant collaboré tels Renault, mais surtout pour pouvoir piloter le relèvement économique : exemple des Charbonnages de France). Ce plan prime sur les clivages politiques : le patronat ne proteste pas, et le PCF ainsi que la CGT condamnent les grèves. Il s'agit, d'après Maurice Thorez, de "gagner la bataille de la production". La diplomatie française ne ménage pas non plus sa peine: en 1946, Léon Blum se rend aux États-Unis pour obtenir auprès de Byrnes, ministre des Finances américain, l'annulation d'une partie des dettes de guerre françaises auprès des États-Unis en échange de l'ouverture du marché français au cinéma américain. Le régime de Vichy avait cédé aux Allemands ses actifs internationaux : les américains en récupèrent une partie (sauf ceux situés dans l'Europe sous domination soviétique). Jean Monnet, qui a participé aux négociations, est placé à la tête du Commissariat au Plan en janvier 1946. Il lui appartient de conduire, à la tête du désormais vaste, coordonné et efficace secteur public, le relèvement économique de la France.